by George Kimber-Sweatman
Bien que nous sachions que nous pouvons mettre fin à notre vie en se suicidant, il est illégal dans la majorité de pays du monde (et sans aucun doute la majorité de pays européens). Par contre, la prolongation de la vie est encouragée dans chaque pays, même si on doit payer dans beaucoup d’états à l’exception de l’Angleterre (et peut-être les Etats-Unis dans l’avenir proche).
La connaissance qu’on peut prolonger sa vie est pour moi un confort, surtout avec l’espoir que la science peut s’améliorer même plus avant que notre génération ait besoin de l’utiliser pour que nous puissions prolonger nos vies. Cependant, je crois absolument que nous ne devrions jamais prolonger la vie de quelqu’un qui souffrirait avec cette prolongation. La qualité de vie est la chose la plus importante, la question crucial du débat pour moi et c’est une idée aberrante que la prolongation est toujours une bonne chose. Par exemple, ma grand-mère a la maladie d’Alzheimer et elle n’a plus une connaissance de la vie. La seule chose qui se passe est sa souffrance et sa perte de dignité – c’est injuste et bien que je l’aime, je ne peux m’empêcher plus de penser qu’il serait plus gentil si elle mourrait.
Ces faits me conduisent à considérer l’idée d’euthanasie. C’est un sujet qui est tellement difficile à aborder. Comme j’ai déjà dit, il est une bonne option dans quelques situations mais qui doit décider que la qualité de vie n’est plus assez pour justifier l’existence ? Oui, il est possible que la personne soi-même puisse avoir assez de conscience pour prendre la décision, mais beaucoup de maladies éliminent cette possibilité – qui prend la décision à ce moment-là ? C’est une question vraiment difficile est les autorités n’avaient pas déjà construits une solution.
Je ne sais pas si je suis pour ou contre l’euthanasie. Dans ma situation familiale que j’ai déjà expliquée, bien que je me sente que ce serait meilleur si ma grand-mère mourait tranquillement, je ne pense pas que j’accepterais l’euthanasie. Cela me conduit à penser que la meilleure solution est la décision de refuser l’aide médicale s’il existe une nécessité (sauf l’aide qui rend la vie confortable pour le patient). Avec cette suggestion, la personne peut périr avec la plus grande quantité de dignité possible et j’estime que c’est le principe directeur et le fait le plus important
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